La semaine de 4 jours, on en parle encore … et toujours !
Nous vous rappelions dans notre communication de janvier 2023 que nous portons la revendication de mise en place de la semaine de 4 jours, sans modification du temps de travail hebdomadaire, pour les salariés qui le souhaitent. Nous sommes les seuls à ce jour dans l’entreprise à proposer ce nouveau mode de répartition du travail, qui séduit de plus en plus d’acteurs en France et dans le monde.
Rappelons que vous avez été plus de 70% à être intéressés par cette mesure lors de notre enquête « NAO 2023 ».
Parmi les bénéfices de cette mesure :
- Bénéficier d’une journée supplémentaire de repos dans la semaine ;
- Permettre aux salariés qui n’ont pas droit à 3 jours de télétravail d’accéder à un 3ème jour à la maison ;
- Un maintien de la productivité ;
- Une plus grande implication des salariés ;
- Une diminution de l’épuisement professionnel ;
- Une réduction du turn-over ;
- Une baisse du nombre de jours d’arrêts maladie ;
- Un meilleur équilibre vie privée/vie professionnelle.
Depuis, peu de choses ont évolué. La direction nous a dit qu’elle était « attentive » sur le sujet. Hélas ! Elle à ce jour, elle n’a pas fait un seul pas en direction de sa mise en œuvre !
Pourtant, la semaine en 4 jours est un facteur important d’attractivité, aussi bien pour retenir les salariés que pour en recruter de nouveaux, dans un contexte tendu !!!
Pourtant cette semaine de 4 jours est expérimentée au sein de la fonction publique à l’URSAFF de Picardie précisément ou les agents pourront demander à faire leurs 36 heures de travail hebdomadaire en 4 jours.
« Je crois que beaucoup de Français aspirent aujourd'hui à travailler différemment »
« La semaine de 35 heures en quatre jours, que 10.000 Français expérimentent déjà dans des secteurs économiques très variés comme le recyclage industriel ou l'informatique, cela peut être moins de temps passé dans les transports, moins de stress , et au final, plus de bien-être au travail »
« Pour les employeurs, cela pourrait aussi être un gage d'attractivité et de plus grande productivité. »
Un membre du gouvernement.
Même le gouvernement dans toute son inflexibilité expérimente la semaine de quatre jours, alors notre direction devrait prendre acte d’une volonté de changement de paradigme dans le monde du travail et encore plus dans le secteur de l’IT !
« J’aimerai bien que notre entreprise propose des modèles de travail différent, on est un peu à la masse ! »
Une salariée attentive à ses conditions de travail.
« A cause du déménagement de mon site en zone extra urbaine, mon trajet à vélo est ultra dangereux ou en voiture impraticable, avec la semaine de 4 jours, je n’aurai qu’une journée sur site, ouf ! »
Un salarié pour qui le temps perdu compte, il souhaiterait l’optimiser.
A quand une expérimentation pilote ? C’est à la direction de se saisir notre revendication et de la mettre en œuvre … on les guidera pour vous.
Avenant Télétravail : Avez-vous pensez à le renouveler ?
Certains nous ont remonté ne pas avoir touché l’indemnité annuelle pour le télétravail.
Or, ils avaient oublié de renouveler leur avenant, tout en continuant à effectuer du télétravail, validé par leur manageur.
Maintenant que le télétravail est devenu « habituel » et que la direction doit payer une indemnité (largement insuffisante), quel est l’intérêt pour la direction de vous rappeler de signer un avenant ?...
Pensez à vérifier la date de votre dernier avenant TT, s’il est caduc, contactez votre RRH/manageur pour renouveler l’avenant.
Sondage : Maladies invisibles, chroniques, handicap(s) …
Depuis toujours nous avons à cœur de servir vos besoins et d'ouvrir notre direction à des innovations sociales. C'est pour cela que nous faisons appel à vous pour nous apporter votre avis sur les évolutions à venir que nous pourrions proposer à la direction ! |
Appel contre la réforme des retraites le 6 juin 2023
Appel à la grève contre la réforme des retraites : 6 juin 2023
TOUTES ET TOUS DANS L’ACTION POUR GAGNER L’ABROGATION DE LA LOI MACRON !
Les mobilisations contre la réforme portant l’âge de départ en retraite de 62 à 64 ans ont été massives. Aujourd’hui encore, 62% de la population souhaite que les mobilisations continuent, un chiffre en hausse de deux points par rapport au précédent sondage …
Et pour cause : les salariés savent que si cette loi n’est pas abrogée, elle va fortement les pénaliser en leur volant deux années de retraite et en condamnant une grande partie d’entre eux à des années de précarité. D’autant que la démonstration a été faite, maintes et maintes fois, que l’équilibre financier de nos régimes de retraite n’est pas menacé. Le gouvernement lui-même a expliqué que les économies réalisées serviraient à financer d’autres dépenses de l’Etat. La CGT et l’intersyndicale ont fait de nombreuses contre-propositions, visant à améliorer réellement la vie des retraités, que le gouvernement n’a même pas daigné examiner
Le gouvernement, par son passage en force à coup de 49.3 et son mépris de l’Assemblée Nationale et des syndicats de travailleurs, pense pouvoir tourner la page et poursuivre sa politique visant à remettre en cause toujours davantage les acquis et les droits des salariés avec, notamment, sa réforme de l’assurance chômage, ses attaques contre les bénéficiaires du RSA et un recul historique des filières d'enseignement professionnel au profit de l’apprentissage pour des centaines de milliers de jeunes lycéens. La CGT et l’intersyndicale ont répété au gouvernement : nous irons jusqu’à l’abrogation. Il n’est pas acceptable de gouverner contre la majorité. Bâillonner les opposants à la réforme n’est pas gagner ! |
Le 8 juin, l’Assemblée Nationale devrait examiner une proposition de loi d’abrogation de la réforme Macron portant l’âge de départ à 64 ans, à moins que le gouvernement ne fasse obstruction et refuse une nouvelle fois l’expression du Parlement.
Dans ce contexte et dans la prolongation de la mobilisation des millions de personnes depuis le 19 janvier, l’intersyndicale unie appelle à la grève et à manifester massivement le 6 juin partout en France pour exiger l’abrogation de la réforme des retraites.
Carte des mobilisations près de chez vous : https://mobilisations-en-france.cgt.fr/
Réorganisation OBS SA : Un nouvel espoir* … ou pas !
* Star Wars: Episode IV – A New Hope dès 1981 (NDLR)
L’information du CSE OBS SA a eu lieu jeudi 11 mai : points d’avancées, deadline, données économiques …
Concernant l’état d’avancements du projet, la restitution n’était pas à la hauteur, beaucoup d’informations étaient erronés, mais la novlangue managériale était au rendez-vous :
« Les acteurs du marché sont en train de se morpher avec vélocité »
François Fleutiaux, directeur OBS SA EVP Zone France
Lors de cette réunion d’information l’ensemble des élus des différents syndicats portent les questions à la direction sur la base des documents fournis par cette dernière. Nous attendons des réponses précises et motivées de la direction sur la mise en place d’un certains nombres de chantiers servant théoriquement à simplifier et à rendre plus efficace l’entreprise.
Nous pensions que les desseins futurs se dessineraient, mais peu de nouveauté ; objectifs toujours aussi vagues, toujours aussi flous, la nouvelle réorganisation peine à se mettre en place car la direction ne semble plus aussi sereine sur la cible ; une certitude : ce sera une recherche d’économies, rester moins disant social par rapport à Orange SA.
« Essayer de leverager le hardware et le software »
François Fleutiaux, directeur OBS SA EVP Zone France
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